Marie Grudzinski, comédienne

De la tragédie à la farce, elle a interprété de nombreux premiers rôles d’auteurs classiques et contemporains.

Au théâtre, depuis 1993, avec le Théâtre du Loup blanc :

George Sand dans Alias George Sand ; Maria dans Nous Tziganes ; la princesse Palatine dans Palatine ; Mary Tyrone dans Long voyage vers la nuit(O’NEILL) ; Carlotta dans Embrasser les ombres (NORÉN) ; Jocaste dans Œdipe (VOLTAIRE) ; Cléopâtre dans Rodogune (CORNEILLE) ; Bérénice dans Dix bougies pour un amour Anna Andreïevna dans Le Révizor (GOGOL) ; Titania dans Le Songe d’une nuit d’été (SHAKESPEARE) ; Felice dans Les Rustres (GOLDONI) ; Hérodiade dans Les Nuits blanches de Mallarmé Léonida dans La Cagnotte (LABICHE) ; Charlotte dans Quatuor avec dissonances (SEGUIN, d’après Les Affinités électives de GOETHE) ; la Mère Ubu dans Ubu (JARRY) ; rôle titre dans La Locandiera (GOLDONI) ; les Femmes de Verlaine dans Bleu Coton , Mémoires d’un faune ; Martine dans Le Médecin malgré lui (MOLIÈRE) ; Ellénore dans La Rupture impossible (d’après Adolphe de CONSTANT).

Elle a également travaillé, notamment, avec :

• Ivan Morane, Julie dans Horace (CORNEILLE) ; Madeleine Béjart dans Corneille, moi j’aime, Rouen et Paris, Cité internationale, Théâtre Mouffetard et tournée,

• Jean Chollet, Rosaura dans Le Menteur (GOLDONI), Bussang,

• Carlo Boso et Alita Baldi, rôle titre dans La Vénitienne, Festival d’Albi-Aigues-Mortes,

• Guy LauzinLa Fourmi dans le corps (AUDIBERTI), Carré Sylvia-Montfort,

• Jacques NichetLa Jeune Lune, théâtre de l’Aquarium, tournée,

• Jonathan Merzer, Angélique et Louison dans Le Malade imaginaire (MOLIÈRE), Théâtre Oblique et tournée,

• Pierre Spadoni, Charlotte dans Les Souffrances du jeune Werther (GOETHE), Cité internationale,

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• Guerlay-Lambeley, Orbe Théâtre, Rosa dans Fabriquer ça (Geneviève SERREAU), Théâtre de la Tempête,

• Nicolas KlotzLe Pélican (STRINDBERG), Théâtre Oblique,

• Alain RaisL’Autre Venise (RUZZANTE), Valence, Paris, Avignon

 Arlette Allain, Arthénice dans La Colonie (MARIVAUX) La Perle (STEINBECK) ; Sylvia dans Les Dactylos (SCHISGALL) ; Cunégonde dans Candide (VOLTAIRE).

Elle écrit avec Jean-Claude Seguin Dix bougies pour un amour (et cent auteurs pour un texte).

Elle met en scène Le petit chat est mort au festival de la Cité, à Lausanne ; Tango au théâtre Maubel et tournée ; Constant, inconstant ; avec Jean-Claude Seguin, Bleu CotonLa LocandieraUbuLa CagnotteLes Rustres.

Au cinéma, après quelques courts métrages, joue dans La Trace (Bernard Favre) et La Légende du Saint-Buveur (Ermanno Olmi).

Jean-Claude Seguin, metteur en scène

Metteur en scène et dramaturge du Théâtre du Loup blanc, qu’il dirige avec Marie Grudzinski depuis 1993. Classes préparatoires au lycée Henri-IV, à Paris. Maîtrise de lettres à l’Institut d’études théâtrales, avec Bernard Dort. Formation de l’acteur avec Jorgos Sévasticoglou, associé à Antoine Vitez aux Quartiers d’Ivry. En Italie, s’intéresse au travail de Dario Fo et d’une coopérative théâtrale. Fait paraître une enquête à ce sujet dans Travail théâtral.

Il crée en 2018 dans l’Orne le festival Orne-Ithorynques (troisième édition en 2020)

Il écrit  J’écris ma première pièce, éditions Vuibert, sur l’écriture théâtrale, le jeu et la représentation ; Alias George Sand, d’après la correspondance et l’autobiographie de George Sand ; Nous Tziganes, d’après des témoignages de femmes manouches, gitanes et roms ; Grand Guignol’s Hospital, pièce tragi-comique sur l’hôpital ; Palatine, d’après les lettres de la Princesse Palatine ; Quatuor avec dissonances (et affinités, si possible), pièce librement inspirée des Affinités électives de Goethe ; avec Marie Grudzinski, 10 bougies pour un amour (et 100 auteurs pour un texte), collage oulipien sur le malentendu entre hommes et femmes… et vice versa.

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Il traduit  Long voyage vers la nuit d’Eugene O’Neill ; Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare ; La Locandiera et Les Rustres de Goldoni.

Il adapte Ubu d’Alfred Jarry ; écrit Les Nuits blanches de Mallarmé, sur le rêve théâtral de Mallarmé ; Bleu-Coton, mémoires d’un faune, sur la vie et l’œuvre de Verlaine ; Constant, inconstant, ou la Rupture impossible, d’après Adolphe de Benjamin Constant et sa correspondance amoureuse.

Il met en scène  Alias George Sand ; Nous Tziganes ; Palatine ; Long voyage vers la nuit d’Eugene O’Neill et Embrasser les ombres de Lars Norén (Diptyque nocturne) ; Œdipe de Voltaire ; Rodogune de Corneille ; Le Révizor de Gogol ; Dix bougies pour un amour ; Le Songe d’une nuit d’été de Shakespeare ; Les Rustres et La Locandiera de Godoni ; La Cagnotte de Labiche ; Les Nuits blanches de Mallarmé ; Quatuor avec dissonances (et affinités si possible)UbuBleu-Coton, mémoires d’un faune ; Le Médecin malgré lui de Molière ; Constant, inconstant, ou la Rupture impossible.

Le Théâtre du Loup blanc

La compagnie a été conventionnée par le Conseil régional de Basse-Normandie et le Conseil général de l’Orne. Aidée au fonctionnement, elle a reçu un soutien financier de la DRAC, de la Région et du département pour la plupart de ses créations depuis 1996. Plusieurs de ses spectacles ont été soutenus par l’ODIA-Normandie et coproduits par la Scène nationale d’Alençon.

Elle s’implante en 1995 à L’Aigle, dans l’Orne où, de 1998 à 2001, elle est conventionnée par la DRAC, le Conseil régional, le Conseil général et la Ville.

Ses dernières créations :

2019 : Alias George Sand, ou Le bonheur est une conquête

2014 : Nous Tziganes, créé au Quai des Arts, à Argentan, et repris à Avignon et en tournée

2013 : Palatine, joué à Paris et Avignon, avec tournées en France et en Algérie, est repris en 2013 et 2017 au festival d’Avignon, puis tournées.

2010-2012 : le Diptyque nocturne associe Long voyage vers la nuit d’Eugene O’Neill (créé et coproduit par la Scène nationale d’Alençon) et Embrasser les ombres de Lars Norén (créé et coproduit par la Scène conventionnée de Granville), festival d’Avignon 2012.

En 2009 : Œdipe de Voltaire (créé et coproduit par Fernay-Voltaire), Avignon 2010, Paris 2012 (Lucernaire), tournées.

Blandine Vieillot, scénographe

ENSATT avec Christian Schiaretti, Olivier Maurin, Kristian von Treskow, Adolf Shapiro, Richard Brunel, Christophe Galland, Antoine Caubet, Serge Tronvouez sur des pièces de Saint-Sorlin, Oriza Hirata, Virginia Woolf, Kleist, Pirandello. BTS design d’espace à l’ENSAAMA.

Au théâtre : Richard III (SHAKESPEARE), m/s Jérémie Le Louët  Joe Egg (Peter NICHOLS), m/s Bruno Lajara  2h14 (David PAQUET), m/s Dinaïg Stall  Samedi la révolution (Arezki MELLAL), m/s Rachid Akbal  Meurtre (Hanokh LEVIN), m/s Clément Poirée, T. de la Tempête  Le Chandelier (MUSSET), m/s Marie-Claude Morland  Le Canard sauvage (IBSEN), m/s Adrien Béal  Nunzio (Spiro SCIMONE) et Vive Henri IV (ANOUILH), m/s Thierry Lutz (TTT de Pau)  Une ardente patience (Antonio SKARMETA), m/s Violette Campo  Louise Miller et Le Dr Miracle, texte et m/s Anne-Laure Lemaire  Parasites (Marius VON MAYENBURG), m/s Illia Delaigle, CDE Colmar  Petites histoires du soir (BUZZATI), m/s Patrick Mons  Les Visionnaires (SAINT-SORLIN), m/s Christian Schiaretti, TNP.

Pour la danse : Le Rêve d’Alice et de Mary, chor. de Gary Moss  A VU, Cie du Pont d’assemblage.

Nombreuses scénos d’exposition, Guyancourt, Museum d’histoire naturelle de Toulouse, Grande Halle de la Villette.

Charlotte Villermet, scénographe

Diplômée de l’École nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris et de l’École du Théâtre national de Strasbourg en scénographie et costumes, elle conçoit depuis 1989 des décors et costumes pour Solange OstwaldValère NovarinaBernard SobelCatherine AnneMichel DidymJean DelocheJacques RebotierJean DautremayAlain MergnatStella SerfatyBernard BlochClaude BuchvaldBruno Abraham-KremerAlain MollotAlain BezuNatalie Fillion, Antoine Herbez

Elle crée également des scénographies pour des lieux d’extérieur (festival de Fourvière, Jorge Lavelli ; festival de Gavarnie, François Joxe), pour des déambulatoires (Didier Ruiz, au théâtre d’Évreux), pour des manifestations scéniques telles que la Biennale des éditeurs de la décoration (Grande Halle de la Villette, le parc floral de Vincennes, le Carrousel du Louvre). Elle développe en outre des créations personnelles au Bon Marché, au musée de la Toile de Jouy…

Hervé Bontemps, créateur lumières

Après un BTS régie générale obtenu à l’ENSATT, une licence en philosophie, en études théâtrales, suit une formation à l’ARSEC (Lyon) en méthodologie de projet culturel. De 1977 à 1980, assistant auprès des créateurs lumières John Davis puis Claude Naville, chez Carolyn Carlson au Groupe de recherches théâtrales de l’Opéra de Paris et suit parallèlement des tournées internationales. 

Au théâtre, créateur lumières/régies, entre autres, de Jérôme Savary, au Grand Magic Circus, François MarthouretJean-Paul RoussilonRichard DemarcyJean-Louis ThaminBrigitte ForayRachid AkbalEmmanuelle WeiszFrancisco GarciaPhilippe MacaigneJean-Claude Seguin et Marie GrudzinskiYumi FujimoriDaniel PitoletÉvelyne et Jacques Pieiller

Pour la danse, crée les lumières d’un solo (Lisa Kraus) à The Kitchen (NY), de solos de danse buto pour Setsuko YamadaMitsuyo Uesugi et Ko Murobushi. Travaille aussi avec Christiane BlaiseMarie-Christine GheorghiuAlfred AlerteAnne GarriguesMara VinadiaVéronique AlbertPatricia KuipersIsabelle PierreBrigitte Dumez et Michel Simonot.

Vincent Lemoine, créateur lumières, régisseur

Après une formation en 1994 à l’école Laser (Paris), il collabore avec, notamment, les Cies À Visage Découvert, du Cubitus, de l’Autre Part, Ucorne, le Théâtre du Loup Blanc, le Théâtre de l’Ours, le Théâtre du Cabestan, qui lui font toujours confiance et pour lesquelles il est régisseur de tournée en France et à l’étranger. 

Régisseur général d’abord au théâtre Montmartre-Galabru (Paris) puis, à Avignon : à l’Alizé, au Cabestan (depuis 1996), au Grand Pavois (depuis 2008) et à l’Optimist (en 2019).

Depuis janvier 2013, régisseur général titulaire de la Cité de l’Or à Saint-Amand-Montrond.

Créateur lumières pour Grégoire Couette-Jourdain (Du sexe de la femme comme champ de batailleRe Co NaîtreDe Profundis) ; pour Jean-Yves Brignon (Kaab enfant du SaharaOn a volé le lac BaïkalHamlet, Andromaque) ; David Teysseyre (Chapeau Mr HolmesVan GoghLes BaladinguesVous plaisantez monsieur TannerDracula) ; Alexandre Berdat (Les Bonnes). 

Collabore avec l’auteur Denis Lefrançois sur tous les spectacles de la Cie AYOYE et en est le créateur lumières.

Nicolas Simonin, créateur lumières

Suite à des études techniques à l’école supérieure d’art dramatique du Théâtre National de Strasbourg, il éclaire marionnettes, musique, opéra, danse et théâtre pour des grandes et petites formes. Il collabore entre autres avec Sylvain Maurice, Jacques Kraemer, Olivier Werner, Dominique Boissel, Christophe Huysman, Ivan Morane, Paul Desveaux, Sylvie Ollivier, Joël Dragutin, Jean-Claude Rousseau, Thomas Gaubiac, Pascal Montrouge, Stéphanie Aubin, Yan Raballand, l’Opéra de Bordeaux, l’Opéra de Lausanne…Tout en continuant son travail sur la lumière, il approche l’image par la photographie puis la vidéo. Il utilise cette dernière pour travailler sur la lumière en mouvement et pour y questionner le rapport de l’image et du spectacle vivant.Pour continuer dans sa démarche scénique, il conçoit également la scénographie. Pour la plus part des projets récents, il réalise à la fois scénographie lumière et image, afin de proposer une approche visuelle totale cohérente.

Vincent Tudoce, créateur lumières, régisseur

Vincent Tudoce, créateur lumièresÉclairagiste, régisseur lumières, formé au CFPTS de Bagnolet. D’abord régisseur d’accueil dans divers théâtres d’Île-de-France, puis régisseur de tournées pour les Cies Montalvo-HervieuMerlin NyakamJean-Yves RufFred Cacheux, Cies Hercub et Accordzéâm, Diane Dugard & Juan CochoJean-Claude Seguin, Junior Ballet du CNSMDP (tournées : WaehnerArmitageBartDecinaPreljokajRobbePauwelsTompkinsNorthBeckerRussilloBalanchineBombanaFonteLerat…), mais aussi les JMF, Serge NoyelleClaude ConfortèsQuatuor Emphasis…Crée les lumières pour Jean-Louis MercuzotNicolas ThibaultGersende MichelJade Duviquet & Cyril CasmèzePhilippePenguyRolan Van Loor & Jorge CrudoValérie Onnis & Daniel DariusNadège MacLeay, Karim SebbarAfshin GhaffarianClaire GéraldMariam FaquirOlivier DescarguesSandra AbouavJean AlaviMarie-Laure Agrapart, Maroussia VossenHakim MaïcheViolaine Chavanne et Valérie Alane.

Andrea Cohen, créatrice sons, musicienne, compositrice

Musicienne d’origine argentine, à Paris depuis 1974, elle poursuit une démarche artistique pluridisciplinaire dans laquelle musique, théâtre et radio entretiennent une constante relation. Pianiste de formation, participe à La Tragédie de Carmen de Peter Brook et Marius Constant et à L’Opéra de quatre sous de Georgio Strehler au TMP Châtelet. Collabore avec Georges Aperghis, comme chef de chant de Sextuor, et joue du piano ou de l’accordéon avec des musiciens, chanteurs, acteurs et danseurs tels que Lambert WilsonKudsi ErgunerMichel HermonRichard DubelskiPablo CuecoThierry BédardJean-Louis Jacopin et la Cie Fattoumi-Lamoureux.

Elle a écrit et interprété les spectacles musicaux PianodrameBrodé tangoTocame un vals avec Viviane ThéophilidèsTant qu’il fait jourRobert Schumann de Jean-Marie Patte, Avignon, Piano et compagnie, créé au festival Résonances de la ville de Saint-Nazaire.

Elle produit des émissions radiophoniques à France-Culture. Sa création Figures d’accompagne-ment a été primée par la SCAM (Société civile des auteurs multimédia). Elle a aussi composé et mis en scène trois pièces de théâtre musical : Ay Federico Lorca, avec le plasticien espagnol Francesc Palomares ; Fois il était une deux trois, commande DRAC Île-de-France ; Le Premier Son de sanza. Elle a également composé la musique de scène de plusieurs pièces de théâtre et de nombreuses productions audiovisuelles.

Philippe Varache, costumier, comédien, conteur, scénographe

Après des études à l’École Nationale supérieure d’art dramatique de Lille, il joue beaucoup au théâtre à raison de plusieurs pièces par an. Attiré aussi par l’ensemble des corps de métiers de la profession, il se met à la mise en scène, à la scénographie, au costume. Le conte en tant que parole à peine théâtralisée lui propose également un autre champ d’action.

Depuis plus de quarante ans il a animé différentes compagnies avant de créer la sienne : Tabarmukk.

Actuellement, il cumule ces différentes disciplines et après avoir enseigné le costume de spectacle à l’ATEC (école placée sous le patronage d’Yves Saint- Laurent), il reprend la direction de cette formation et son administration au sein de Tabarmukk.

Il consacre une part de son temps à apporter une approche artistique à des publics sans accès à la culture (prison, hôpitaux, écoles en milieu défavorisé…). Il mène des partenariats avec des personnes en situation de handicap. Il intervient aussi régulièrement en entreprise en participant à l’animation de séminaires.

Il a travaillé ces dernières années avec Gilles Langlois, Carlotta Cléricci, Jean Quercy, Mitch Hooper, Hubert Benhamdine, Olivier Couder, Anne Coutureau, Jean-Claude Seguin, Jean-Luc Borras, Bruno de la Salle, Jacques Décombe, Éric Morin, Anne-Marie Philipe, Sophie Parel, Cécile Tournesol

Gabriel Levasseur, accordéoniste

Au théâtre, musicien et acteur avec, entre autres, Judith Chemla : Traviata, vous méritez un avenir meilleur (Benjamin Lazare), Bouffes du Nord et tournée, Crack in the Sky et Tue-Tête ; avec la Cie des Femmes à barbe, Molières 2016 et 2018 de la meilleure comédie : Le gros diamant du princeLudwig (composition) ; Les Faux British (composition) ; Le Grand Frisson ; avec Didier Bezace, Théâtre de la Commune d’Aubervilliers : Que la noce commence (2012-2013) et Cabaret masculin-féminin (2003-2004). Théâtre de rue : 12 ans (5 spectacles) avec la Cie Kumulus (prix SACD 2004). Collabore avec Théâtre de l’UnitéLes CousinsLe Quartet buccal (2 CD), Cie de la DMBabyloneSAMU

Compose des musiques de films : Hors d’être (FR3) ; Anne de Bretagne, l’héritage impossible (FR3) ; Gauguin, Richard Dindo ; Kerfank la colline oubliée (FR3) ; Jardins de Seine-et-Marne (FR3) ; À la recherche du temps vécu (FR3) ; La ville, le fleuve et l’architecte (FR3).

Collabore avec Titi Robin (6 CD), Annie PapinClaude AstierBringuebalCie VertigoMarido Fréval

Participe depuis 1995 à l’association Clowns sans frontières (Égypte, Ine, Afghanistan, Palestine, Cambodge…).

Nicolas Planchais, comédien

Après une formation Langues O et des missions humanitaires pour les Nations unies et électorales pour l’OSCE, en Afghanistan, en Asie centrale et dans toute l’ex-Union Soviétique, quelques projets privés au Vietnam et en Albanie, diverses tentatives en journalisme, réalisation TV et production cinéma, il devient comédien « à son insu de son plein gré ». Porté par sa voix pour cette conversion tardive, il se forme auprès de Philippe Naud, ancien assistant de Blanche Salan et Paul Weaver à l’American Center, puis se lance dans les aventures théâtrales les plus diverses — Tolstoï, Strinberg, Dürrenmatt, Karmanova… — avec entre autres Jean-Loup PhilippeTatiana KarmanovaOdile Mallet et Geneviève Brunet. Il trouve son véritable bonheur en interprétant Égisthe dans l’Électre de Jean Giraudoux au festival de Bellac. Il décroche quelques petits rôles au cinéma et à la télévision mais le cœur de son activité de comédien est la narration documentaire, la voix off et le doublage. Il se consacre essentiellement à la narration d’audio-livres — plus d’une centaine, romans et essais philosophiques — en tentant de caractériser chaque personnage par une voix propre.

Alexandra Beaujard, chanteuse,

accordéoniste, danseuse

Autodidacte, chanteuse multi-instrumentiste, elle débute la musique à 17 ans Elle s’initie par la suite à la guitare et chante dans divers groupes tels que Baltazar (chanson française) ou Lezine Goui Goui (musiques traditionnelles françaises). En 1997 elle travaille avec le cirque Bidon, en 1999 elle joue dans L’Arlechino de Paolo Rossi à Milan. C’est en 2001, lors d’un voyage en roulotte avec la compagnie Croque-Mule (musiques de l’Est), qu’elle découvre la Roumanie et en particulier la Transylvanie et ses musiques. Après un an passé dans le village de Szàszcsàvàs elle rencontre les musiciens qui formeront le groupe Transylvanian Gipsy Band et fonde l’association culturelle Nadara. Nadara, c’est toute la force et la beauté des chants, des danses et musiques tziganes, hongroises et roumaines de Transylvanie. Elle est assistante de Tony Gatlif sur les films Transylvania et Liberté. Nadara est aujourd’hui, sans conteste, le meilleur ensemble tsigane de Transylvanie. 

Thomas Kretzschmar, violoniste

À 20 ans, il découvre le jazz manouche en rencontrant le guitariste Steeve Laffont. Rejoint le groupe Zou Maï, repéré par le label Blue Jack Jazz Records, avec lequel il enregistre un disque. Tournées en Europe. A Montpellier, forme son propre groupe et se produit en trio ou quintet. Crée aussi Elka Quartet avec le guitariste Matia Levrero. En 2008, s’installe à Toulouse où il monte un quartet. En 2010, rencontre les guitaristes manouches Samson Schmitt et Mayo Hubert. Samson l’invite sur son disque Crazy Sounds en 2011. Thomas l’invite la même année sur son album Time in my hands. Tournée dans le Sud-Ouest et dans l’Est de la France. En 2012, se produit à la Réunion, en Italie et en Espagne. En 2013, intègre la formation de Tango Nuevo L’Oscar Delgar. Se produit dans de nombreux festivals avec Dorado,Tchavolo et Samson Schmitt, Angelo Debarre et Jacopo Martin.Collabore également avec l’accordéoniste sicilien Roberto Gervasi avec lequel il forme son Gypsy Quartet. En 2014, 1er album du quintette de tango L’Oscar Delgar et tournées en France et à l’étranger. En 2015, joue avec Bernardo Sandoval et le quartet de jazz manouche marseillais César Swing.

Nous avons eu le plaisir de travailler aussi :

• pour Nous Tziganes avec Djaïma (violon et danse) et Nicolas Bras (multi-instrumentiste et concepteur d’instruments),

• pour Palatine avec l’éclairagiste Philippe Guenver et le coiffeur-perruquier Daniel Blanc,

• pour le DIPTYQUE NOCTURNE (Long voyage vers la nuit d’Eugene O’Neill et Embrasser les ombres de Lars Norén) avec le coiffeur-perruquier Daniel Blanc, Yves Arnault (James Tyrone), Yves Collignon (James Tyrone et O’Neill), Olivier Hémon (O’Neill), Diana Laszlo et Céline Bouchard (Cathleen), Arnaud Denissel (Edmund et Shane), Masato Matsuura (Saki), Philippe Risler (Jamie et Eugene Jr),

• pour Œdipe de Voltaire avec le coiffeur-perruquier Daniel Blanc, François Chodat (le Grand Prêtre et Phorbas), Luc Ducros (Araspe et Dimas), Alice Faure et Juliette Wiatr (Égine), Vincent Domenach, Laurent Ménoret et Jean-Édouard Bodziak (Œdipe), Antoine Herbez (Philoctète et Icare)

• pour Rodogune de Corneille avec le scénographe Gustavo Kortsarz, Véronique Affholder (Laonice), Jean-Bernard Ekam-Dick, Modeste Nzapassara et Tadie Tuene (Timagène et Oronte, mais aussi chant et percussions), Laetitia Guédon (Rodogune), Malot de La Tullaye (Séleucus), Matthieu Fayette et Hubert Benhamdine (Antiochus)

• pour 10 bougies pour un amour (et 100 auteurs pour un texte) avec le scénographe Dominique Arel, la costumière Agnès Chantoin, le créateur lumières Hervé Bontemps et les comédiens Bernard Humbert, Pierre-François Kettler, Charles-Roger Bour et Rainer Wettler

• pour Quatuor avec dissonances (et affinités si possible), d’après Goethe, avec le scénographe Dominique Arel, l’éclairagiste Jean-Louis Aichhorn, les comédiens Larissa Cholomova, Bertrand Farge, Jean Hache, et les musiciens de l’Ensemble de Basse-Normandie Thierry

• pour Bleu-Coton, Mémoires d’un faune, sur Paul Verlaine, avec l’éclairagiste Hervé Coudert, le chanteur lyrique Frédéric Bang-Rouhet, le pianiste-comédien Pascal Berthier et le comédien Yves Arnault

• pour Les nuits blanches de Mallarmé, avec le vidéaste Christian Barani, la costumière Marie Hameau et les comédiens Geneviève Esménard, Michel Armin et Julien Menici

• pour Constant, inconstant, ou la Rupture impossible, d’après Adolphe de Benjamin Constant, avec la costumière Anne Deschaintres, la claveciniste Guislaine Gignoux et le comédien Pierre-François Kettler.